La pédagogie différenciée consiste à établir une posture pragmatique, c’est-à-dire s’adapter à chaque élève, et à établir une posture ambitieuse, autrement dit permettre la réussite de chacun.
Histoire
L’idée de différenciation est ancienne et la notion de « pédagogie différenciée » apparaît en 1970.
Elle est née grâce à Louis Legrand, responsable des recherches pédagogiques à l’INRDP (Institut National de Recherche et de Documentation Pédagogique), qui a inventé l’expression en 1970.
Le concept de différenciation atteindra son apogée dans les années 80.

La pédagogie différenciée est volontaire et consciente.
Elle répond à des différences qui existent entre les individus. Son arrivée en 1970 a été reprise par des pédagogues tel que Philippe Meirieu.
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Pour qui?
La pédagogie différenciée s’adapte à chaque apprenant. Elle est destinée à tous les élèves, enfants, adolescents et adultes, en situation d’apprentissage.

En séance de remédiation pédagogique, elle garantit des progrès rapides afin de garantir la réussite de tous:
- enfants présentant des difficultés d’apprentissage
- enfants porteurs de troubles des apprentissages: dyslexiques, dyspraxiques, dysphasiques, dyscalculiques, dysorthographiques, troubles logico-mathématiques, TDA/H, troubles du spectre autistique
- enfants précoces
- enfants hypersensibles
- …
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Pourquoi?
La pédagogie différenciée est particulièrement adaptée aux séances de remédiation pédagogique individuelle ou en groupe restreint. Elle permet de consolider une notion, une partie du programme dans une ou plusieurs matières.
Elle reprend très souvent les fondamentaux, bases indispensables pour les apprentissages.

Si ces notions ne sont pas acquises, l’enfant ne parviendra pas à poursuivre sereinement la scolarité car il n’aura pas la capacité d’enregistrer de nouvelles informations.
Il doit les automatiser afin de se concentrer sur des procès plus complexes.
Si les bases de calcul mental ne sont pas acquises en primaire, les calculs littéraux au collège seront difficiles.
Chercher les compléments à 10, à 100 ou encore les tables de multiplication, ralentira la compréhension et la résolution des calculs complexes.

À terme, l’adolescent sera limité dans ses choix d’orientation alors qu’un étayage adapté aurait suffi à lui donner toutes les chances.